Gamagori Futarou. [Terminée]

Zeni Geba Messages : 6 Date d'inscription : 03/08/2010

I) Description:

Nom: Gamagori.
Prénom: Futarou.
Age: 28 ans.
Sexe: Masculin.
Métier: Avocat.

Physique:
Gamagori Futarou, un jeune homme qui pourrait être beau. Vraiment très beau même. Il possède une silhouette grande et fine et très légèrement musclée. Un visage aux traits soignés et à la peau lisse. Des yeux dont la prunelle est d’un noir ténébreux qui couperait le souffle à n’importe qu’elle femme si l’un deux n’était pas défiguré. Un nez parfaitement coupé. Ni trop gros, ni trop petit. Des lèvres assez fines. Si l’on regarde bien, quand son visage est sans expression, sa lèvre supérieure remontant, sa bouche forme un long cœur. Ses cheveux aussi noirs et épais que le brouillard, recouvrant son front ainsi que l’œil qui fait le pourquoi on ne peut pas le définir de bel homme. En effet, après avoir été victime d’un fâcheux accident avec son père, il a depuis petit une très grande cicatrice sur l’œil gauche. Celle-ci prenant une grande partie de son œil et, par conséquent de son beau visage au naturel, il est repoussé des personnes qui l’entourent et surtout des femmes qui le regardent comme s’il était un monstre. D’un regard colérique mélangé à de la mélancolie, rares sont les fois où vous le verrez sourire. Portant le plus généralement son costume d’avocat, dans ses heures de repos il s’habillera simplement d’un jean, d’un tee-shirt et d’une veste en cuir noire. En clair, si vous faites impasse à son œil enlaidi par cette profonde cicatrice, vous pourriez vous laisser envouter par sa beauté derrière sa blessure.

Caractère:
Avare. Cupide. Avide et perverti par l’argent. A peine si on ne pourrait pas lui voir des billets de banque à la place de pupilles. Pire qu’Harpagon dans sa plus grande splendeur. Il ne vit que pour lui. Rien d’autre ne l’intéresse, il en est fou, amoureux, obsédé par l’argent. Il n’aime que ça et rien d’autre. Il n’a de pensée et d’espoir que pour cet argent qu’il prend pour le centre du monde. Il en veut toujours plus. Jamais vous ne le verrez dépenser cet argent qui lui est si précieux inutilement pour quelque chose autre que de la nourriture ou des vêtements. - Qu’il ne change que lorsqu’ils ne lui vont plus ou s’ils deviennent inutilisable.- Egoïste, vous pourrez crever, souffrir, ce n’est pas son problème. Il n’hésitera pas à vous mentir, à vous tromper pour vous escroquer et voler votre argent par l’intermédiaire de contrat ou autre.
Renfermé et de nature taciturne, il ne viendra vous parler que si c’est vraiment obligatoire ou alors si c’est une question d’argent. Malgré ça, il peut être raisonnable avec quelques personnes qui ne l’horripilent pas. Même si ce nombre de personne est vraiment très très faible. Il est même inférieur à cinq personnes. Peut-être encore moins. Il prend les gens qui les entourent pour des hypocrites et est persuadé qu’ils sont comme eux. Fou d’argent. Seulement, pour faire bien, ils ne le montrent pas. Mais, s’ils pleuvaient des dollars et autres billets de banque, ce serait certainement l’anarchie. Lunatique, il peut passer du calme à la colère en quelques secondes à peine. Dans ce genre de moment de folie, vous avez intérêt à être loin de lui, à le fuir et à l’ignorer. Sa colère se reposera forcément sur quelqu’un. Avocat de talent, il espère prendre la place de l’incapable avocat de l’hôpital et être aux côtés du Docteur Kelso qu’il aime pour son avarice presque aussi forte de celle de Futarou.

II) Histoire:

« Argent… Argent… Argent… Si nous en avions eu… Si nous n’étions pas pauvre… Maman serait encore en vie… C’est ça qui a tué maman. Je ferais tout, pour l’argent. »

Il y avait cette pièce sur la route. Cette pièce d’un yen. Cette petite pièce, cachait dans une flaque d’eau. Seulement, elle ne m’échappa pas. Mon œil s’en aperçut. Il n’allait pas la lâcher. Il me la fallait. Traversant la route, une main dans la poche, je me baissai et ramassa cette pièce qui me narguait de l’autre côté de la rive. Attendant vaguement le bruit d’un camion s’arrêtant à quelques centimètres de moi, je ne voyais qu’une chose. Je fis un sourire, je la mis dans ma poche et continuai. J’ai manqué de me faire tuer, je l’ai sentis. Mais j’avais pu m’emparer de l’argent. C’était un bonheur suffisant…

Naît de deux parents japonais, depuis tout petit, j’ai vécus dans la pauvreté et la misère. Redoutant chaque jour d’école les méchancetés continuelles des personnes de ma classe. La seule personne qui remontait le niveau de cette vie, c’était elle. Celle qui m’avait mit au monde. La plus belle des mères. Elle était fabuleuse. C’était la meilleur.

Question inévitable : Pourquoi et comment les Gamagori sont devenus si pauvre.

Premièrement, la pauvreté, habituellement et également dans mon cas, se transmettre de génération en génération. Si tu nais minable, tu seras minable. Deuxième point important : Quand les minables deviennent des salops. Voilà où je situerais le mieux ma situation. Mon père, employé ayant un contrat en queue de scie, se fit licencier. Ce qui entraîna chez lui une perte de confiance et de morale affolante, une entrée en dépression et la connaissance plus approchée de l’alcool. L’alcool étant une boisson cher, en consommer en grande quantité n’est jamais bon pour un chômeur et sa famille. Ce qui transforma plus un sous à endetté. Bref, cet ignoble être après avoir gâcher la vie de ma mère et moi, nous abandonna. Pendant quelques mois…

Girelle Bouilli trempée dans de la sauce soja…

La girelle est un petit poisson de faible valeur que l’on jette ou relâche habituellement. Seulement, on peut toujours le reprendre gratuitement au poissonnier en lui demandant gentiment. Et, comme ma mère, on peut en faire un plat succulent. Chaque soir je mangeais ce plat à deux sous. Mais je ne m’en lassais jamais. C’était un tel délice à chaque bouchée.

« Hm… C’est vraiment délicieux. »

« En veux-tu d’autre ? »

Un hochement de la tête et un large sourire suffit.

« Dis maman, tes médicaments ! »

Aujourd’hui, quand j’y repense, son air gênée et triste caché par un sourire minable montrait qu’elle ne savait pas mentir.

« Ce ne doit pas être bon, mais c’est cher. Donc ce devrait te soigner. »

« Oui, j’y penserais dorènavent. »

Malgré toutes ses nuits infernales où je l’entendais tousser à en cracher ses poumons, un sourire de sa part suffisait pour que je le croie.

Saoul. Il arriva et réclama notre argent. Bouteille à la main. L’argent de maman, celui que je gagnais en vendant des journaux très tôt de matin. Il voulait tous. Elle, elle ne résistait pas, ou seulement très peu. Allant jusqu’à lui demander s’il voulait d’un repas. Prit d’un instant de folie, je pris un bâton qui traîné et imprudemment je courrai vers lui. Les choses s’enchainèrent à une allure folle. Il me repoussa, je tombai tête première contre une armoire qu’il avait fouillait. D’une douleur comme jamais personne n’avait souffert. Ma main sur mon œil couvert de sang qui avait percuté le coin de la commode. J’avais perdu la vue du côté gauche. Ou du moins, c’était pire que d’avoir perdu la vue. De cet œil, je voyais les choses qui m’entouraient en zigue-zague avec une énorme trace orange en plein milieu de ma vision. Cela aurait, d’après les docteurs eut une conséquence sur les nerfs optiques.

Il s’en alla avec l’argent. Les meubles renversaient, le tapis rouge de mon sang. Cet homme… Il ne pouvait pas être mon père.

Elle… Non… Elle n’était pas morte quelques jours après. Non, elle n’était pas morte de sa maladie. Elle était morte car elle n’avait pas assez d’argent pour payer ses soins médicaux. C’est l’argent… Juste l’argent. Ce n’est rien d’autre qui l’a tué.

Je ferais tout, pour l’argent.

La suite.

III) Vous:

Double compte de JD.

Re bienvenue!

Jolie petits gifs de l'acteur dans ta signature ^0^
Mais snifff, ton avatar est si petit!

Pauvre petit Ted!

Zeni Geba Messages : 6 Date d'inscription : 03/08/2010

Merci Taffany.
Je changerais bientôt mon avatar. C'est vrai qu'il est petit, mais c'est le seul truc que j'ai pour l'instant. C'est temporaire. Bientôt arrivera un où il a sa tête de sadique. *w*

Héhé... Ted... xD